dimanche 16 octobre 2016

A Giovanna Valls Galfetti

  


Chaussée de baskets et coiffée d'une casquette à la Gavroche, Giovanna marche dans Paris avec l'espoir absurde de passer inaperçue.
L'ombre du grand frère, à la main ferme, fier de sa famille, de son père au pinceau nuancé et de sa mère, flamboyante et aimante, cette ombre sacrée et si fraternelle lui donne une dimension surréaliste.
Elle est à la fois la petite sœur fragile qu'il faut protéger, la muse de la fraternité et la diva du Paris côté Saint -Germain des prés.
Sion voulait lui offrir une robe de soirée, il faudrait chercher dans les archives une toilette digne de Marie Laurencin ou une création d'inspiration Paco Rabanne ou Yves Saint-Laurent.
Mais Giovanna se moque des falbalas, elle préfère les tenues agréables à porter, conçues pour favoriser le mouvement.
Ce dont elle a horreur, c'est l'immobilité.
Il faut que ça bouge!
Elle sillonne les routes de France, d'amis en amis pour finalement revenir à son port d'attache, la maison familiale de Barcelone qu'elle aime tant et où elle se ressource avec bonheur pour notre joie à tous !

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